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You play like a succubus • Lucy

Alastair Carter
Alastair Carter

inscrit le : 05/01/2024
messages : 51
âge : 44
logement : fermette au 127 college town
occupation : Shérif, à la tête de la meilleure unité et je pèse mes mots. Toujours là pour les habitants que j'ai juré de protéger et aider coute que coute.
statut civil : Veuf depuis 4 ans maintenant. C'est dur mais je commence a m'y faire...

@Lucinda Trask

C’est seul que je me retrouvais devant l’entrée du Dreamy Night Show. Ce cabaret restaurant chaudement recommandé par une collègue après que cette dernière m’ait aperçu jouer du piano à la gare. J’attendais patiemment Freya d’un retour de week-end en dehors de la ville et en apercevant le piano j’ai eu soudainement l’envie de faire quelques notes. Il avait l’air abandonné, sans personne pour s’en occuper. Aussi, il n’y avait personne autour que je connaissais et étais donc tranquille pour laisser mes doigts glisser sur les touches. J’enchaînais donc les petits morceaux, faisant plaisir à quelques personnes qui attendaient tout comme moi l’arrivé des trains, jusqu’à ce qu’un visage que je connaissais sortait du lot. Les immenses yeux bleus me fixaient et un léger sourire habitait les lèvres de la rousse. Me faisant rater une note et m’arrêtant ainsi dans mon pseudo spectacle. Lucinda la médecin légiste. Sans s’attarder davantage elle me passa alors l’adresse du DNS en me disant que je pourrais aimer et en m’invitant presque à y passer une soirée.

Et le voilà le jour venu devant l’entrée en regardant autour de moi. Pas de trace de la rouquine. Au fond je ne savais pas trop à quoi m’attendre et surtout pas pourquoi j’étais venu finalement. Ce n’est pas comme si le docteur Trask et moi étions proche. Notre relation étant purement professionnel. Cette rencontre à la gare était d’ailleurs la première fois que l’on se voyait en dehors du travail pour vous dire. Non clairement je ne comprenais pas ma venue ni à quoi je m’attendais. Mais étant présent et assez curieux de nature ne décidais quand même d’entrée à l’intérieur et de voir ce qu’il en était de cette enseigne. Rapidement l’ambiance me saisi. Les musiques étaient assez dingue et le brouhaha du public en disait long. Je souriais malgré moi en regardant les gens s’enivrer des concerts sur la scène du cabaret et humais délicatement la douce odeur des burgers maison. Ce qui me mettait l’eau à la bouche. Avec la journée de dingue que je venais de passer en plus je pense que la soirée, même si la rousse n’était pas présente, allait être plutôt agréable avant de rentrer chez moi. Je m’installais donc et commandais un burger frites maison avec une bonne bière puis reposais mon regard sur la scène. C’est à ce moment là que j’aperçus une chevelure de feu et le vissage que je m’attendais à voir. A voir à mes côtés à table et non sur scène. Surpris, très agréablement surpris même, je souriais en croisant son regard alors qu’elle débutait sa prestation, le laissant clairement sur le cul et sans voix. Ne m’attendant pas à ce que la médecin a ses strict et propre sur elle puisse être aussi dévergondée et endiablée une fois la blouse posée.
Lucinda Trask
Lucinda Trask
fondatrice

inscrit le : 05/01/2024
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âge : 39
logement : une petite maison à Shadow Peak
occupation : propriétaire d'une petite boutique d'ésotérisme, dans le quartier de Old Bennington
statut civil : Célibataire


( you play like a succubus )
@Alastair Carter  & @Lucinda Trask

Lorsqu’elle s’était attardée sur l’air de piano joué dans le hall de la gare l’autre jour, jamais elle n’aurait pu deviner l’identité du pianiste improvisé sans l’avoir vu de ses propres yeux. Alastair Carter, le shérif de Bennington, en personne. Certes, elle le connaissait, professionnellement parlant. Nier qu’elle le trouvait séduisant eut été mentir. Mais il avait ce quelque chose d’intouchable, qui faisait qu’elle n’avait jamais cherché à le connaître au-delà de leur métier respectifs. Elle savait qu’il était veuf, depuis quatre ans, et qu’il avait une fille, déjà grande. Qu’il était le cousin de l’adjointe, Daphné. Et que c’était un bon flic. Mais ce jour-là, elle découvrit également que c’était un excellent pianiste, à sa plus grande surprise. Il y avait quelque chose dans sa manière de jouer qui la prenait aux tripes. C’est ce quelque chose qui incita la jeune femme à l’inviter au cabaret, un soir où elle se produisait habituellement. Sans bien entendu l’informer de ce qu’elle-même faisait à ce cabaret, bien évidemment.

Si l’idée lui avait paru bonne sur l’instant, elle en était beaucoup moins certaine le jour J. Après tout, ce n’était pas parce qu’elle avait été séduite par le pianiste qui sommeillait en lui que lui-même apprécierait son numéro de violon électrique. Peut être même qu’il porterait un autre regard – peu reluisant – sur la légiste qu’elle était le jour, remettant en question ses compétences. C’était le risque. Mais désormais, il était trop tard pour faire machine arrière. Aussi, lorsqu’elle le découvrit assis à une table tout en regardant à travers le rideau de la scène, elle sentit son anxiété grimper d’un cran avant de faire son entrée sur scène. De nombreux habitués des lieux étaient également installés en salle, scandant déjà son prénom tandis qu’elle saisissait son violon pour faire son apparition. L’appréhension de savoir s’il allait apprécier son numéro se mêlait au fait qu’il allait la découvrir dans une tenue bien différente de celle qu’il avait l’habitude de la voir porter. Exit la blouse blanche et le tailleur strict, bonjour la mini robe en cuir moulante, sa chevelure incandescente flottant librement sur ses épaules et ses yeux bleus soulignés savamment par un trait de khôl noir. Cependant, c’est avec le sourire aux lèvres et sa fougue habituelle qu’elle fit son entrée sur scène, rapidement galvanisée par le regard appréciateur et le sourire qu’elle surpris sur le visage du shérif. Ensuite, la magie de son violon fit le reste.

Le souffle court et le feu aux joues, une fois sa prestation terminée et ovationnée, Lucy se hâta de déposer son instrument dans la loge, et de se rendre à la salle, espérant qu’Alastair serait toujours à sa table. Pour une raison qui lui échappait, elle redoutait qu’il ne s’éclipse une fois son numéro achevé. Mais il était toujours à la même place. Alors, elle rejoignit sa table, le cœur battant. « Le spectacle vous a plu ? » demanda-t-elle en arrivant à son niveau. « Je n’étais pas certaine que vous viendriez. » Soudain, vêtue de cette robe qui dévoilait plus qu’elle ne dissimulait sa peau laiteuse, Lucinda se sentait très vulnérable face au regard de l’homme qui lui faisait face.


( Pando )

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Alastair Carter
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La surprise fut de taille et je ne savais comment interpréter le flot d’émotions et de sensations qui s’abattaient sur moi en découvrant la jeune femme sur scène. Le burger qui me paraissait délicieux dans l’assiette n’avait clairement plus la même saveur quand la jolie rouquine enchaîna les notes, grattant les cordes avec une telle frénésie et une telle passion qu’elle m’emmenait rapidement et facilement dans on univers. Je me surprenais même à tapoter un certain tempo de mes pieds tout en grignotant ci et là le repas commandé, ne quittant pas des yeux ce spectacle dont je ne m’étais pas attendu.

Une fois le show fini la belle rouquine quitta la scène avec un large sourire sous les applaudissements de la salle, moi y compris. Je finissais de terminer mon repas et boire ma bière quand elle apparut quelques secondes plus tard dans un coin de la salle et qu’elle agrippa mon regard avant de se rapprocher. Sourire aux lèvres. C’était bien la première fois que je la voyais aussi joyeuse. Aussi énergique. Aussi… différente. Et j’appréciais bien trop cette découverte pour le coup.
« Sacrée surprise que vous m’avez fait là. Le spectacle était super. L’artiste était superbe. » Rien à voir avec la légiste que je connaissais depuis quelques temps. Mais que je ne connaissais pas vraiment en fait. Je le remarquais maintenant en la détaillant un peu.

Mon regard se fit sans trop le vouloir quelque peu inquisiteur. La tenue qu’elle portait contrastait certes avec ce que j’avais eu l’habitude de voir la connaissant mais cela lui allait vraiment bien et révéler une autre facette de sa personnalité que j’appréciais. Je ne pouvais le nier mais la légiste était sublime ainsi. Mais remarquant ce regard trop inquisiteur je faisais l’air de rien en remontant mes yeux sur son visage, les siens ne m’ayant pas quitté aussi pour le coup.
« Je ne suis pas assez calé en musique mais autant le style que l’instrument… ce fut une belle découverte. »
Lucinda Trask
Lucinda Trask
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@Alastair Carter  & @Lucinda Trask

Avoir invité le shérif à venir assister à une de ses prestations était un défi de taille pour Lucinda. Elle ignorait comment il allait appréhender son numéro d’une part, sans compter son look… radicalement opposé à celui qu’elle arborait au BCME. Cela faisait maintenant pourtant trois ans – depuis son retour à Bennington – qu’elle connaissait Alastair Carter, en tant que shérif de la ville. Un homme au physique avantageux certes, mais qui paraissait constamment mettre des barrières entre le monde extérieur et lui. De ce fait, elle s’était toujours cantonnée à des rapports strictement professionnels sans chercher plus à le connaître. Evidemment, par les bruits de couloir, elle savait qu’il était veuf, originaire de Bennington, et cousin de son adjointe Daphné. Mais ce fut après l’avoir entendu jouer du piano – talent insoupçonné qui lui avait retourné les tripes – qu’elle avait envisagé lui dévoiler cette autre facette d’elle-même. Peut être que finalement, ils n’étaient pas si différents que cela l’un et l’autre.

Toutefois, ce ne fut pas non pas sans appréhension qu’elle se dirigea à sa table, après sa prestation endiablée, pour recueillir son impression à chaud. Visiblement, il avait apprécié le spectacle… au sens propre comme au sens figuré, à en croire la manière dont il la dévorait du regard, maintenant qu’elle se tenait face à lui, toujours dans sa tenue de scène. Sous le feu des compliments, elle se sentit rougir et un sourire éclaira son visage. « Heureuse que cela vous ai plu. » Son sourire s’élargit. « Et merci ! » D’un geste de la main, elle héla un serveur et commanda deux bières. Puis, elle s’assit à la table du shérif. « Je n’étais pas sûre que ça vous plaise pour être honnête avec vous ! » Le serveur rapporta leurs boissons et elle le remercia tout en l’appelant par son prénom, avant de reporter son attention sur son « invité ». « Désormais, vous connaissez mon secret. » souffla-t-elle avec un air mutin. Bon, ce n'était pas tout à fait vrai. Il ignorait encore qu'elle était possédait des parts du cabaret. « Ne le dites à personne autrement je devrais vous réduire au silence. » Menacer le shérif… à moins que ce ne fut du flirt ? elle se trouvait soudainement bien audacieuse. « Mais confidence pour confidence… vous êtes plutôt doué vous aussi. » Elle bu une gorgée de sa bière. « Au piano j'entends. » jugea-t-elle bon de préciser.



( Pando )

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