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(alastair & freya) daddy, i miss you so much

Freya Carter
Freya Carter
co-fondatrice

inscrit le : 25/01/2024
messages : 167
âge : 21
logement : tu vis depuis quelques mois à bennington, dans un appartement.
occupation : exploitante dans un ranch, tu t'épanouies auprès des chevaux.
statut civil : célibataire, coeur de pierre, impossible pour elle d'imaginer l'amour.


daddy, i miss you so much

@Alastair Carter & @Freya Carter


Crois-tu qu'il acceptera de te voir ?
Crois-tu qu'il voudra retrouver sa fille après une absence aussi longue ?
Crois-tu qu'il t’aime encore Freya ?
Mérites-tu son pardon ?
Mérites-tu son amour ?
Mérites-
STOP.

Tu as passé trop de temps loin de Bennington et de ton père. Tu as passé trop de temps à t’enfoncer dans les abîmes des enfers de New York. Trop de temps à provoquer les foudres de certaines personnes au sein du marché noir, en compagnie de ta douce Love. Love Lockhart. Une bénédiction dans ta vie. L’ange qui t’a sauvé, qui t’a fait remonté la pente. Hélas, tu aurais sûrement dû supporter les épreuves de cette vie partant en couilles, avec ton propre père et ta propre famille… Mais tu n’en as pas eu la force, il y a trois ans. Tu n’as pas eu la force de tenir le coup, de le voir malheureux, de l’entendre pleurer à chaudes larmes au fond de son lit, seul. Tu n’as pas eu la force de comprendre les gens qui te regardaient avec une compassion maladive. Tu n’avais pas besoin de tout ça. Tu voulais simplement continuer de vivre. Au jour le jour. Survivre. Ta mère serait sûrement fière de toi, de tes choix. Moins de tes conneries et de l’avis de recherche qui te ressemble drôlement. Moins des frayeurs qui tu as eu en passant à deux doigts de la mort auprès de plusieurs fous furieux de la crime sur New York. L’adrénaline, c’est ça qui t’a fait revivre Freya. Jeune gamine qui n’a pas froid aux yeux à présent, et qui voudrait simplement reprendre une vie normale et se défendre.

Tu as passé trop de temps loin de Bennington et de ton père. Alors, la première chose que tu fais après deux semaines d’installation, c’est le contacter. C’est lui prouver que tu es vivante. C’est lui demander de le voir. C’est tenter le pardon. Debout devant la porte de la fermette dans laquelle tu as passé à peine une année avant ton départ pour New York, ta ville natale, tu trembles des pieds à la tête. Finalement, ce n’est pas si facile de se pointer chez lui, comme si de rien était. Finalement, c’est beaucoup plus difficile que prévu, et… Tu aurais préféré que Love soit à tes côtés.

Les remords d’être partie si vite, comme une voleuse, remontent dans ta gorge.
Comme la bile qui gargouille au fond de ton estomac traumatisé.

Tu sonnes.
T’inspires profondément.
Putain, t’es sûre de toi, Freya là ?


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Alastair Carter
Alastair Carter

inscrit le : 05/01/2024
messages : 51
âge : 44
logement : fermette au 127 college town
occupation : Shérif, à la tête de la meilleure unité et je pèse mes mots. Toujours là pour les habitants que j'ai juré de protéger et aider coute que coute.
statut civil : Veuf depuis 4 ans maintenant. C'est dur mais je commence a m'y faire...


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@Alastair Carter & @Freya Carter


Un sourire qui se dessine sur mes lèvres alors que je lis doucement le sms reçu par ma fille. Elle qui avait quitté la ville il y a quelques temps, très peu de temps après notre retour. Préférant combattre la disparition de sa mère seule. Elle qui avait donné très peu de signe de vie même si j’arrivais par moment à avoir des nouvelles. Voilà quelle ressentait le besoin de me voir. Comme un appel à l’aide déguisé. Je connaissais ma fille. Et même si je ne la questionnais pas par écrit je lui indiquais alors de revenir, ma porte étant toujours grande ouverte pour elle. Après tout, ma maison est aussi la sienne alors pas besoin de faire de chichi entre nous. Le sourire habitait donc mes lèvres sans les quitter pendant de longues minutes. Souriant comme un imbécile tout seul je rangeais un petit peu la maison tout en regardant l’heure, impatient de retrouver ma fille.

J’avais hâte de savoir comment elle allait. Ce qu’elle devenait. Mais aussi pourquoi ressentait-elle d’un seul coup ce besoin et surtout pourquoi me le demander de manière déguiser comme ça. Elle savait qu’elle pouvait venir n’importe quand ici et qu’elle y serait la bienvenue. Tant de question qui me passait à travers la tête alors que je finissais de faire la vaisselle qui traînait dans l’évier. Je n’avais jamais été très consciencieux pour ça. Mais cela me rappelait finalement qu’il faudrait que j’achète un lave vaisselle pour le coup. Prendre le temps d’aller voir les modèles en magasin et d’en récupérer un. Ce qui serait un « poids » de moins dans ma vie de tous les jours.

Après quelques minutes j’entends finalement une voiture se rapprocher. Un rapide coup d’œil par la fenêtre me permet d’apercevoir une silhouette brune qui se rapproche très lentement de la porte d’entrée. Toujours aussi belle. Voir même plus que dans mes souvenirs. Je sais pourtant que malgré mon envie de la revoir, les retrouvailles pourraient être délicates. C’est ma fille. Je la connais. Ne serait-ce qu’un petit peu. Et je sais que malgré tout ça, malgré ce besoin d’éloignement elle doit au fond regretter pas mal de chose et s’en rendre malade. Même si elle sait que je serais toujours présent pour elle, elle doit avoir peur. Peur de m’avoir blessé ou déçu. Finalement, la sonnerie de l’entrée me permet de m’ancrer de nouveau dans le présent et en soufflant doucement je me rapproche et ouvre la large porte d’entrée. Mes yeux se posant sur le visage de ma fille tout en souriant grandement.
« Bon retour à la maison ma puce. »
Lançais-je doucement tout en lui tendant les bras, très heureux de pouvoir la revoir à nouveau.

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Freya Carter
Freya Carter
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L’énorme sourire de ton père te coupe le souffle. Ton coeur s’arrête immédiatement quand tu croises le regard de celui-ci. Des souvenirs remontent à la surface. Mauvais, bons. Magiques. Magnifiques. Tu t’imaginais tellement de choses en revenant devant le pas de cette porte que tu as abandonné quelques années auparavant, que tu n’avais pas pu imaginer non plus à quel point ça te ferait un bien fou de voir Alastair. Un bien immense, même. Cette poussée d’adrénaline, l’air comprimé dans tes poumons qui s’échappent. C’est comme si toute la tension qui t’animait s’en allait enfin, pour te laisser respirer de bons grands bols d’air frais. Tu souris immédiatement, en voyant son visage rayonné de plaisir de te voir enfin en chair et en os près  de lui. Un frisson te parcourt, quand il tend ses bras vers toi pour t’offrir une étreinte digne de ce nom.

La chaleur de ses bras se répand sur ton frêle petit corps, et tu ne peux que t’avouer une seule chose, Freya : Ca fait un bien fou, d’être dans les bras de papa. Ça fait un bien fou de ne plus être loin de lui. Il est ton géniteur. Tu es sa chair et son sang. Jusqu’au bout du monde, il sera présent pour toi, mais tu as quand même honte de l’avoir fuit toutes ces dernières années. Tu as, tout de même, honte d’être une gamine impulsive et fragile. Faible petite chose qui n’a pas supporté la douleur de la perte d’un être cher. Ceci dit, entre nous Freya, c’était ta mère, pas n’importe qui.

Oh, papa, je suis si contente de te voir !

L’étreinte ne dure pas assez longtemps pour toi, évidemment, mais tu auras toute l’occasion possible de te racheter en lui offrant de longues étreintes comme quand tu étais petite. Tu adorais dormir sur ses genoux. Tu adorais être dans ses bras. Petite Freya, tu n’as pas changé sur ce point, car même à l’âge de vingt et un ans, tu voudrais ne jamais quitter la chaleur de ton paternel. Trop importante pour toi, depuis toujours.

Je… Je suis désolée, je suis un peu en retard. J’ai eu quelques complications.

Tu passes ta main dans ta chevelure en rougissant doucement.

Tu m’as manqué, papa…

Tu souffles dans un sourire timide.


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Alastair Carter
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Cette bouille d’ange m’avait terriblement manqué. Ce sourire. Ces petites expression et son petit corps tout frêle qui se blotti contre le miens. Bien évidemment je souris en la revoyant, ne pouvait faire autrement. Devrais-je faire autrement en fait ? Oui en vouloir d’être partie du jour au lendemain sans vraiment me l’annoncer ? D’être rester quelques années éloignées ? Peut-être… je devrais peut-être mais en ai-je réellement envie ? L’important était qu’elle soit bien. Qu’elle se sente mieux. Qu’elle retrouve ce sourire de beau et chaleureux sur son visage. Que ses yeux s’illuminent de nouveau et pétillent comme ils avaient l’habitude de le faire. Et en quelques secondes là sur le pallier de cette porte elle me montre alors sans trop forcer qu’elle a réussit à retrouver tout cela. Alors oui je suis heureux et ne peux retenir ma joie de la revoir et de la sentir se blottir de nouveau contre moi. Car malgré tout elle restera ma fille, ma princesse, mon univers et je n’aurais de cesse de vouloir son bonheur et la protéger.

Dans un mélange entre vitesse et lenteur que je ne saurais expliquer je fracasse ces quelques centimètres qui nous séparent pour enrouler mes bras autour d’elle. Retrouver ces sensations et surtout ce parfum si singulier qui a toujours habité ses cheveux. Je souris bêtement sans rien dire afin de profiter de ces retrouvailles. Oui elle est bien de retour. Ça ne fait aucun doute. Malheureusement et bien que j’aurais adoré la garder encore dans mes bras plusieurs longues secondes je fini par me reculer et mettre fin à cette étreinte. Mes yeux glissent sur son visage pour en retrouver les formes et les courbes. Ne pouvant m’empêcher de sourire en revoyant à quel point elle ressemble à sa mère.
« Ça me fait tellement plaisir de te voir de retour. » Répondis-je à ses mots avant de secouer la tête doucement quand elle commence à s’excuser.
« L’important c’est que tu sois de retour ma puce ne t’en fais pas. »

Pas besoin d’excuse. Au fond d’elle elle le sait. Mais je sais aussi qu’elle a toujours été comme ça.
« Huuum je crois que tu m’as le plus manqué quand même. »
Lançais-je avec un petit clin d’œil complice avant de relever les yeux derrière elle.
« Bon. Où sont tes affaires que je t’aide à t’installer ? »
Après tout elle n’allait pas rester sur le pas de la porte infiniment. Cette maison était aussi la sienne. Elle m’avait aidé à la trouver et m’avait aussi aidé dans les premiers travaux avant de partir. C’était chez elle et pouvait y demeurer quand elle le voulait. Cela ne changerait jamais.

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Oh… Je… J’ai pris un appartement, papa.

Tu balbuties doucement, tes bras ballants le long de ton corps, idiote de ne pas avoir pu venir avant ton installation, voir ton cher père adoré. Après cette douce et agréable étreinte, tu sens tout le poids du monde sur tes épaules de lui avoir menti, et surtout de t’être déjà installé ailleurs que chez lui. Tu grimaces doucement, passant ta main dans ta chevelure.

Je voulais pas revenir m’installer ici et t’importuner, p’pa.

Tu hausses les épaules avec un petit air innocent. Le sourire qui se dessine sur tes lèvres en dit long sur ta maladresse dans cette histoire, mais tu ne lui laisses pas le temps de t’en vouloir. Cette maison t’a manqué oui, mais dans un autre sens. Tu ne t’y sens pas tellement chez toi. Tu y sens tous les souvenirs qui t’ont brisé à l’époque. Alors, tu entres dans l’entrée, en passant devant Alastair et observes les lieux pour voir ce qui aurait pu changer depuis. Rien. Ton père a laissé les lieux exactement comme quand tu es partie. C’est à croire qu’il s’est figé dans le temps… Comme toi…

Je t’ai ramené un gâteau de ta pâtisserie préféré, en ville.

Tu relèves un p’tit sac cartonné dans ta main droite que tu t’étais empressé de cacher quand ton regard à croiser celui de ton père quelques instants plus tôt. Il t’avait tant manqué que tu serais presque prête à l’étreindre à nouveau pour le bonheur et la chaleur de ces retrouvailles étranges.

J’aurais du rester auprès de toi, tu sais…

T’as honte, en baissant ton regard vers le sac que tu lui tends.

Je te l’aurais préparé moi-même… J’aurais jamais du te quitter, p’pa.


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Alastair Carter
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Je crois que sans le vouloir, j'avais mis les deux pieds dans le plat et avais pu mettre mal à l'aise ma fille. Dans mon empressement de la revoir et dans ma joie, j'avais laissé aller mes pensées sur le fait qu'elle revenait s'installer à la maison. Allant trop vite en besogne, elle m'annonçait alors avoir déjà prit un petit appartement en ville dans le but de ne pas m'importuner. Quel enfant pouvait importuner ses parents ? Autant je connaissais ma fille et je comprenais ce qu'elle voulait me dire, autant ça me faisait légèrement mal au cœur de savoir qu'elle était finalement revenu depuis quelques jours déjà sans avoir pu le savoir avant ce sms aujourd'hui. Il semblerait donc que quelque chose n'allait pas vraiment avec ma fille. Qu'elle avait honte ou peur de quelque chose. Je soupirais donc intérieurement avant de sourire bêtement et de me reculer, revenant dans la maison et fermant doucement la porte.
« Désolé ma puce, je me suis un peu emballé. »
Lui avouais-je alors avec ce sourire légèrement gêné. Comme quoi, je ne savais plus trop comment réagir avec elle. Elle que je voyais toujours comme ma petite princesse et mon bébé et qui pourtant était maintenant une jeune adulte faisant ses choix et menant sa vie comme elle l'entendait. L'impression tout d'un coup qu'un bon en avant de dix ans venait de se passer sans que je m'en rende compte.

Finalement elle avance dans la maison et je la suis, doucement vers le coin cuisine. Je vois ses yeux se baladaient de gauche à droite. Reprendre possession des lieux. Rien n'avait changé depuis son départ. D'une part parce que ne manquais de temps. Comme elle n'était plus là je m'étais mis à fond dans mon boulot et il m'arrivait même parfois de faire des nuits blanches directement au bureau. Et d'autre part parce que je n'avais jamais eu sa petite fibre décorative. Ce qu'elle tenait de sa mère.
Là elle me tend un petit sac en m'annonçant avoir récupéré une de mes pâtisseries préférées en venant ici. C'est con mais ça me fait plaisir de voir qu'au fond elle n'avait rien oublié de moi, de mes goûts, de nous. Mais je vois dans son regard fuyant qu'elle s'en veut. Qu'elle à honte et elle fini rapidement par me l'avouer à demi mot. J'étais d'accord avec elle mais je comprenais pourquoi elle l'avait fait. Pourquoi elle en avait eu tant besoin. Je me rapprochais donc, attrapais ce petit sac que je posais derrière elle sur le comptoir de la cuisine puis l'encerclais une nouvelle fois de mes bras, l'enfermant l'espace de quelques longues secondes dans un câlin afin de la réconforter un petit peu.
« Pas besoin de t'en vouloir autant chérie. Tu avais besoin de prendre des distances et je peux le comprendre. L'important c'est que tu sois maintenant de retour et rien ne t'empêche maintenant de revenir de temps en temps ici pour cuisiner tu sais. »
Finissais-je alors par dire en reculant mon visage et en lui lançant un petit clin d’œil avant de rire doucement.
« Sache que je ne t'en veux pas et ne t'en voudrais jamais pour quoi que ce soit. Tu es ma fille et je serais toujours là pour toi. »
Je finissais par poser mes lèvres sur son front. Un baiser tendre comme je lui faisais avant quand elle était plus petite.

Finalement je lui laissais un peu d'espace et passais derrière le comptoir de la cuisine afin de sortir des verres et venir ouvrir ce petit sac. Humant la délicieuse odeur qui en sortait je souriais à ma fille en sortant la petite pâtisserie.
« Qu'est-ce que tu veux boire ? Du frais ? Du chaud ? Je dois avoir à peu près tout ce que tu veux. Enfin je pense. Dis moi. »
Pour ma part ce serait un café, histoire de me tenir réveillé plus longtemps. Encore une fois j'avais fait nuit blanche au boulot. Trop absorbé par ces histoires de disparitions et surtout cette première rencontre fait avec Lucinda qui m'avait clairement retourné.  

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@Alastair Carter & @Freya Carter



La maison n’a pas changé. Tout est encore au même endroit que le jour où tu as décidé de foutre le camp. L’odeur masculine des lieux t’envahit. Le parfum enivrant de ton père. Un sourire naît sur tes lèvres tandis que tu te remémores de nombreux souvenirs, à la fois bon et douloureux. La chaleur des étreintes de ton père t’avait manqué aussi. Sentir cette douceur, cette force qui t’envahit. Ton coeur bat. De contentement. Car ça t’avait manqué aussi, Freya. Tu mourrais d’envie de rentrer depuis longtemps, et voilà que tu as finalement franchi le pas grâce à Love, il y a une bonne semaine de cela. T’inspires profondément, tournant ton regard vers ton père. La brûlure de ces lèvres posés sur ton front est douce et rafraîchissante. Elle te conforte dans l’idée que tu es toujours la bienvenue. Elle te conforte dans l’idée que ton père ne t’en voudra jamais pour rien au monde. Vous êtes si liés, si proches.

Un chocolat chaud avec des guimauves ? Comme autrefois…

Tu échappes un léger sourire, suivi d’une grimace. Souvenir d’une habitude donnée par ta douce mère, à l’époque de ton enfance, particulièrement. Mais, il s’agissait d’une habitude que tu as gardé longtemps avant de retourner à New York. Ca doit bien faire deux ans que tu n’as pas bu de chocolat chaud, et encore moins avec les mini guimauves que ta mère adorait ajouter pour le fun et le sucre.

Enfin, si tu as ce qu’il faut ?

Tu lui tires la langue, oubliant le malaise qui s’est installé en toi pendant quelques secondes. Ca fait longtemps, Freya, il faut toujours aller de l’avant. Voilà ce que tu te répètes sans cesse, chaque jour durant. Tu restes en retrait, accolé au mur de la cuisine, en l’observant.

Comment ça va le boulot ?

Des banalités, commençons par ça.

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