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L'aide n'est pas de refus. - Ft Libre.

Anonymous
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( L'aide n'est pas de refus. )
TW: Agression, blessure au couteau.

Les jours se suivent, les jours avancent et actuellement, autant le dire, il traîne dans les rues. Pas de boulot ce soir, Velam est en congé, Velam a besoin de se détendre en allant traîner on ne sait où actuellement. Plongé dans ses pensées, il avance encore, dans l’espoir d’arriver dans un quartier peu fréquenté. Vel a se besoin d’aller là où la populace est rare, traîner dans les bars les moins classes, mais surtout, il a ce besoin de se sentir vivant la plupart du temps. Il n’aime pas s’enfermer dans une routine, se retrouver dans un quotidien toujours identique, il en aurait clairement marre.  
Marchant alors ensuite vers les rues, il arrive non loin du bar qu’il désire actuellement. Entrant, il passe alors une bonne petite soirée avec différents amis, qu’il se fait actuellement sur place. Sourire large, il repart au moins avec joie et bonne humeur. Mais sa bonne humeur est écourtée, un homme venant vers lui, le menaçant alors avec un couteau actuellement, menaçant pour avoir son porte-feuille. Refusant alors, l’homme attaque, Velam se défend, mais le résultat est simple : blessure.  

Velam est là, dans la ruelle, blessé, le pronostique n’est probablement pas engagé, mais il saigne et pas qu’un peu, l’hôpital est de mise. Il n’a plus son porte-feuille, sa main est plaqué sur son flanc droit, il grimace alors et se demande s’il va croiser quelqu’un. Il soupire, douloureusement et...

– Il y a quelqu’un ? J'ai besoin d’aide...  

Il soupire, il grimace, il n’arrive clairement pas à se relever, sinon, ça lui arrache tout simplement un grognement de douleur, si ce n’est un cri.  

– Bordel de...

( Pando )
Benjamin Carter
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L'aide n'est pas de refus
@Velam Wahlgren & @Benjamin Carter

Depuis son retour à Bennington, Ben ne prend que peu de temps pour lui. Il se remet doucement dans le bain, remettant ses repères à jour pour pouvoir déambuler dans la ville sans passer pour le touriste du coin, et, par déformation professionnelle peut-être, pouvoir surtout repérer d'éventuels signes suspects. Les disparitions récentes l'inquiètent, c'est un fait, et il ne tient pas à ce que ça frappe de nouveau qui que ce soit, alors s'il peut en profiter pour repérer des bizarreries...

Ce soir, il est de nouveau de sortie, se promenant dans la rue, les mains dans les poches de sa veste ; il est plutôt content de voir que, malgré l'angoisse des événements récents qui semble toujours peser sur la petite ville et ses habitants, ces derniers essaient de garder une vie à peu près normale, sortant au restaurant et se promenant dans la rue malgré la fraîcheur de la soirée. Bien, ils ont raison de garder espoir, songe-t-il avec un léger sourire en coin, cette affaire finira bien par être résolue, même s'il se doute que le plus tôt sera le mieux, et que les forces de police feront de leur mieux. Il ne s'inclut pas trop dedans pour le moment, même s'il n'a pas hésité une seconde à revenir du Texas pour leur prêter main forte ; s'ils ont besoin de lui, ils l'appelleront, il n'en doute pas.

C'est alors qu'il entend une voix masculine, un peu faible, un peu plus loin dans la rue, une voix qui appelle à l'aide avant de pousser un juron. Ni un ni deux, le ranger se dirige vers la voix, et il ne tarde pas à voir un homme à terre, se tenant le flanc droit, la main gauche couverte de sang ; se rapprochant de lui, il s'accroupit à sa hauteur et lui lance :

Monsieur, vous êtes blessé... Venez, je vais vous aider, vous pouvez vous asseoir contre le mur ?

Le tenant par les épaules, il lui donne un coup de main pour l'aider à se redresser, avant d'attraper son téléphone et de commencer à taper le numéro des secours, se tournant vers l'homme et reprenant :

Parlez-moi pendant que j'appelle les secours... Que s'est-il passé ? Est-ce que vous êtes capable de décliner votre identité ?

( Pando )

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Si je m'éloigne parfois, je n'ai qu'une loi. Oui toujours, je reviendrai vers toi
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